|
|
||
|
Guéret. —-Guilliau. 387
|
||
|
|
||
|
G
ÙÉROT (Jean-Baptiste), danseur du spectacle des Élèves de l'Opéra en 1779, Pms en -7-"0 <-u théâtre des Grands-Danseurs du Roi.
(Le Chroniqueur disauvrè, I, 20.)
Voy. Léger (Jean-Marie).
|
||
|
|
||
|
G
UIGNES, acteur de l'Opéra-Comique, lors de la réunion de ce spectacle à la Comédie-Italienne (1762).
(Histoire du the'dtre de l'Oprra-Comiçuet II, $"$.)
|
||
|
|
||
|
G
UILLAIN (Marie-Elisabeth), née en 1776, danseuse au spectacle des Petits-Comédiens du comte de Beaujolais. Voy. Dottel.
|
||
|
|
||
|
G
UILLIAU, joueur de marionnettes et montreur d'animaux sur le boulevard et aux foires en 1765.
L'an 1765, le lundi 24 juin, 6 heures de relevée, par-devant nous René Regnard de Barentin, etc., cit comparu fleur Nicolas Batteux, fergent de la garde des remparts à la barrière du Temple : Lequel nous a dit qu'il lui a été ordonné par le fleur Couturier, infpecteur des jeux, d'arrêter un particulier baladin fur les boulevards, accufé d'avoir craché fur un foldat des gardes françoifes avec lequel il a eu difpute, et s'eft battu à ce fujet. Pourquoi il l'a fait conduire par-devant nous pour être ordonné ce que de raifon.-
Ed auffi comparu par-devant nous Antoine Courtin, foldat au régiment des gardes françoifes de la compagnie Daldar, demeurant à la caferne du faubourg St-Laurent, contre la barrière de la Villette : Lequel nous a rendu plainte, et dit qu'étant occupé à voir la parade du fleur Guilliau, qui montre des marionnettes fur le boulevard, le particulier arrêté, habillé en pierrot, qui faifoit voir lefdites marionnettes a craché fur lui avec deffein et méchanceté, ce qui a prêté à rire à tous les acteurs qui s'en font divertis hautement ; qu'en conféquence et ledit particulier étant defcendu de deffus le théâtre de parade il lui a demandé raifon de l'injure qu'il venoit de lui faire et qu'il n'a pu, d'après la réponfe qu'il lui a faite, s'empêcher de lui donner un foufflet, ce qui a occafîonné une batterie entre eux à coups de poings ; que tous les acteurs dudit Guilliau, au nombre de trois, font tombés fur le plaignant pour le maltraiter, excités par ledit Guilliau lui-même et fa femme ;
|
||
|
|
||